À Reims, un festival à croquer au Boulingrin
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Au programme, trois scènes, trois ambiances. Une scène rap, déjà, installée en extérieur, avec d’abord un « open mic » (micro ouvert), pour chauffer le public, puis trois mini-concerts, dont celui de Nervozo, un artiste d’origine rémoise, qui enregistre et mixe ses propres sons, à l’instar de son dernier projet disponible « -3°C ». Au rez-de-chaussée de l'établissement, une scène rock s’ouvrira à trois autres groupes, dont Dernière Blonde, quatre jeunes musiciens insolites, qui n’hésitent pas à passer du lyrique poétique, au sauvage plus saturé. Ils s’arrêtent à Reims, pour Biscuit Rock, tandis qu’ils sont en tournée dans toute la France pour quarante concerts. Enfin, au sous-sol, une scène techno/electro enflammera l’espace, dès 21 h. Trois DJ se succéderont et c’est Mikelyne qui ouvrira le bal, une artiste rémoise qui, après une formation musicale poussée, déploie un univers drum’n’bass derrière les platines, pour la plus grande joie du dance floor.